REVUE DE PRESSE DU 8 AOUT
3 participants
Page 1 sur 1
REVUE DE PRESSE DU 8 AOUT
Nord éclair
Dumont : « On n’attend que ça ! »
Stéphane Dumont, qui ne veut plus perdre de temps, pourrait être titularisé demain aux côtés d’Adil Rami. Que Rudi Garcia opte pour cette solution ou non, il compte bien faire partie de l’équipe à part entière cette saison.
PROPOS RECUEILLIS PAR GAËLLE LAURENT-DRIDI > >> Ça plaît, oui, mais ça plaira encore plus si les résultats suivent. Durant la préparation, on s’est efforcé de faire les efforts pour parvenir à obtenir ces bons résultats, maintenant on a envie de passer à la compétition. Le coach nous demande un peu de folie offensive mais on ne le fera pas n’importe comment. On va aussi s’attacher à conserver nos bases défensives.
Qu’est-ce qui a changé dans la méthode ? >> Vous savez, le coach essaye d’apporter sa touche personnelle, les joueurs feront le reste sur le terrain.
« Tout le monde repart de zéro »
Rudi Garcia a nommé Rio Mavuba capitaine ; ce changement a-t-il été une surprise pour vous ? >> Une surprise, non. On ne s’attendait pas forcément à un changement de capitaine mais cela ne change rien du tout ! Depuis plusieurs saisons, tout le monde est un peu capitaine dans l’équipe. On est tous très heureux d’avoir Rio à ce poste, il n’y a aucun problème.
Avec la blessure de Plestan et la suspension de Franquart, vous pourriez débuter à Nancy aux côtés de Rami ; comment appréhendez-vous ce rendez-vous ? >> Je ne sais pas si je jouerai mais je me tiens prêt, effectivement, je suis à la disposition du coach.
J’en ai terminé avec les pépins physiques et j’espère repartir sur quelque chose de bien.
La saison dernière a-t-elle été difficile à vivre ? >> J’ai vécu une deuxième partie de saison particulièrement difficile car j’ai peu joué. Mais c’est sûr qu’avec l’arrivée du nouveau coach, tout le monde repart de zéro. À moi de montrer ce que je vaux désormais.
Si Claude Puel était resté, auriez-vous quitté le LOSC ? >> En fin de saison, on réfléchit, on fait le point sur sa situation personnelle. C’est sûr que j’aurais pu faire ce choix. Mais aujourd’hui, je porte le maillot du LOSC et je compte bien défendre chèrement ses couleurs.
Que pensez-vous de la préparation de votre équipe ? >> Le match contre Nice nous a fait du bien parce qu’on a eu droit à une vraie opposition. Maintenant, le fait de ne pas avoir connu la défaite lors des matches amicaux nous a mis en confiance mais on a hâte de passer à la compétition. On n’attend que ça !
Comment abordez-vous la première rencontre à Nancy ? >> Nancy a vraiment une belle équipe et est très performante à domicile. Il nous faut sortir une grosse performance pour aller chercher un résultat là-bas. Le groupe a été un peu amoindri par les blessures mais il n’en reste pas moins costaud. On compte bien le prouver dès le premier match. •
Nord éclair (suite)
RETROUVAILLES
Dante Bonfim : « On n’a pas vu le vrai Dante à Lille »
GAËLLE LAURENT-DRIDI > il est arrivé en plein mois de janvier, en 2004, à une période de l’année guère favorable pour les Brésiliens qui débarquent en France. Les premiers mois de Dante à Lille n’ont, de fait, pas été faciles à gérer. « Il m’a forcément fallu une période d’adaptation mais je ne pense avoir traîné dans ce domaine en dépit de la difficulté, confie Dante. J’ai surtout dû apprivoiser un football et un championnat que je ne connaissais pas ». De son passage à Lille, le défenseur brésilien ne garde pas un grand souvenir. « Sauf les gens que j’ai rencontrés là-bas, tous très accueillants, sourit-il. Dans le groupe, je m’entendais bien avec tout le monde mais j’avais plus d’affinités avec Rafael, évidemment, Peter Odemwingie et Benoît Angbwa ».
« J’aimerais rejouer en France »
Dante a laissé à Lille l’image d’un Sud-Américain souriant et enthousiaste. Sur le terrain en revanche, il a vite déchanté. En deux ans (janvier 2004 à janvier 2006), il a disputé seulement douze matches de championnat. Et garde le sentiment amer de ne pas avoir eu sa chance. « Oui, je pense ne pas avoir eu ma vraie chance, poursuit-il. A Lille, on n’a pas vu le vrai Dante. Peu de monde là-bas connaît mon vrai niveau.
Je regrette de ne pas avoir pu montrer mon vrai niveau ».
C’est en Belgique que le Brésilien se découvre finalement aux yeux du football européen. À Charleroi d’abord puis au Standard de Liège, sa progression est telle qu’il est aujourd’hui l’un des meilleurs joueurs à son poste. Sacré champion de Belgique la saison dernière, il n’a manqué qu’un seul match pour cause de suspension. « À Liège, j’avais un gros défi à relever dans l’un des meilleurs clubs belges, indique Dante.
Et j’ai réussi à tenir la baraque. Aujourd’hui, j’ai encore soif de progrès ».
À l’aube de débuter sa quatrième saison en Belgique, l’ancien Lillois aspire à d’autres ambitions. « Je veux jouer dans un autre championnat, affirme-t-il sans détours. J’ai eu des contacts en Allemagne mais ce n’est pas forcément ma priorité. J’aimerais revenir en France. Car je suis un peu revanchard vis-à-vis de ma première expérience en Ligue 1 ! ». Bientôt de retour ? •
La Voix du Nord
LIGUE 1 Nicolas Fauvergue : « Je ne suis plus le même homme »
En froid avec Claude Puel, proche du départ cet été, Nicolas Fauvergue a trouvé un second souffle avec l’arrivée de Rudi Garcia, et même prolongé son contrat jusqu’en 2012. Un scénario improbable il y a quelques mois, alors qu’il semblait déboussolé. Une renaissance soudaine mais, il s’en doute, tout reste à faire.
PAR ANTOINE PLACER
sports@lavoixdunord.fr PHOTO MAX ROSEREAU C’était il y a quelques mois. Pour lui, c’est une autre époque, déjà. Les traits tirés, visiblement en souffrance, Nicolas Fauvergue observe ses potes au Stadium. Le gamin de 23 ans assiste, contrit, au match de son équipe depuis les tribunes. Il s’en veut, probablement. Quelques jours plus tôt, au Stade de France, fragilisé et usé, il avait brisé l’omerta du milieu pour vider son sac, tout bêtement (1). C’était la mort clinique de sa relation avec Claude Puel, déjà bien compliquée.
« S’il était resté, j’aurais demandé à partir », raconte-t-il d’ailleurs, sans chercher à se défausser. « Mais quand j’ai su que Rudi Garcia arrivait, la donne a changé, évidemment. J’ai donc attendu de voir ce que le nouveau coach attendait de moi. » La petite histoire raconte que sa joie, lors de l’annonce du départ de Puel, a ressemblé à un gosse de cinq ans qui déchire ses paquets à Noël… « J’étais content, c’est clair. De là à dire que j’ai fait la fête, sauté au plafond, non, faut pas exagérer. Je n’oublie pas que c’est grâce à lui que j’ai signé mon premier contrat “pro”. Seulement, nos relations étaient devenues difficiles, et son départ fut un soulagement. »
Une poignée d’abrutis
À l’époque de son bannissement, Fauvergue n’avait reçu aucune aide publique de ses équipiers, même si certains l’avaient assuré de leur soutien en coulisses. « S’ils s’étaient mouillés publiquement, ils se seraient grillés, dit-il aujourd’hui. Chacun doit penser à sa gueule, et je n’avais pensé qu’à la mienne en déballant tout. C’était de la maladresse. Mais j’ai bien mûri depuis. Et j’ai déjà parlé vingt fois plus avec Garcia qu’en quatre ans avec Puel. Rudi a rapidement vu que je suis quelqu’un qui a besoin de parler, d’être rassuré. » Pendant la préparation, Fauvergue a grignoté petit à petit du temps de jeu, avec peu de buts, pas mal de passes décisives et… des sifflets d’une poignée d’abrutis, contre Roulers, où il avait gâché quelques occasions. Mais Garcia lui fait confiance, et le club veut s’assurer de ne pas perdre son joueur, alors que Mirallas a déclaré ses envies d’ailleurs. « J’ai reçu une proposition d’un club français (Toulouse), mais Xavier Thuilot m’a dit qu’il était hors de question que je parte. J’ai sauté sur l’occasion, repris confiance, prolongé et depuis je me sens bien. Je sais qu’un attaquant doit arriver mais en attendant, je montre ce que je sais faire. C’est une année charnière pour moi, celle où je dois décoller. » Rudi Garcia partage cet avis : « C’est une bonne chose que “Nico” ait prolongé. Je souhaitais le conserver car c’est un joueur unique dans l’effectif par son profil. Il est puissant, possède la taille et un jeu de tête intéressant. Il y a encore du travail mais il sait que ce qui va compter, c’est l’épreuve du championnat. » Fauvergue, jeté par Lens à ses débuts et depuis toujours confronté aux chemins de traverse, joue gros. « Est-ce que c’est l’année de la maturité ? Oui, c’est pas mal, ça. En tout cas, je ne suis plus le même homme. J’ai fait un important travail sur moi. » Ça s’entend. Et bientôt, cela pourrait même se voir. •
1. – Le 1er mars 2008, après la défaite lilloise face à l’OL au SDF (0-1), devant la presse, Fauvergue avait mis publiquement en cause les choix tactiques de Claude Puel, réclamant le passage au 4-4-2
Dumont : « On n’attend que ça ! »
Stéphane Dumont, qui ne veut plus perdre de temps, pourrait être titularisé demain aux côtés d’Adil Rami. Que Rudi Garcia opte pour cette solution ou non, il compte bien faire partie de l’équipe à part entière cette saison.
PROPOS RECUEILLIS PAR GAËLLE LAURENT-DRIDI > >> Ça plaît, oui, mais ça plaira encore plus si les résultats suivent. Durant la préparation, on s’est efforcé de faire les efforts pour parvenir à obtenir ces bons résultats, maintenant on a envie de passer à la compétition. Le coach nous demande un peu de folie offensive mais on ne le fera pas n’importe comment. On va aussi s’attacher à conserver nos bases défensives.
Qu’est-ce qui a changé dans la méthode ? >> Vous savez, le coach essaye d’apporter sa touche personnelle, les joueurs feront le reste sur le terrain.
« Tout le monde repart de zéro »
Rudi Garcia a nommé Rio Mavuba capitaine ; ce changement a-t-il été une surprise pour vous ? >> Une surprise, non. On ne s’attendait pas forcément à un changement de capitaine mais cela ne change rien du tout ! Depuis plusieurs saisons, tout le monde est un peu capitaine dans l’équipe. On est tous très heureux d’avoir Rio à ce poste, il n’y a aucun problème.
Avec la blessure de Plestan et la suspension de Franquart, vous pourriez débuter à Nancy aux côtés de Rami ; comment appréhendez-vous ce rendez-vous ? >> Je ne sais pas si je jouerai mais je me tiens prêt, effectivement, je suis à la disposition du coach.
J’en ai terminé avec les pépins physiques et j’espère repartir sur quelque chose de bien.
La saison dernière a-t-elle été difficile à vivre ? >> J’ai vécu une deuxième partie de saison particulièrement difficile car j’ai peu joué. Mais c’est sûr qu’avec l’arrivée du nouveau coach, tout le monde repart de zéro. À moi de montrer ce que je vaux désormais.
Si Claude Puel était resté, auriez-vous quitté le LOSC ? >> En fin de saison, on réfléchit, on fait le point sur sa situation personnelle. C’est sûr que j’aurais pu faire ce choix. Mais aujourd’hui, je porte le maillot du LOSC et je compte bien défendre chèrement ses couleurs.
Que pensez-vous de la préparation de votre équipe ? >> Le match contre Nice nous a fait du bien parce qu’on a eu droit à une vraie opposition. Maintenant, le fait de ne pas avoir connu la défaite lors des matches amicaux nous a mis en confiance mais on a hâte de passer à la compétition. On n’attend que ça !
Comment abordez-vous la première rencontre à Nancy ? >> Nancy a vraiment une belle équipe et est très performante à domicile. Il nous faut sortir une grosse performance pour aller chercher un résultat là-bas. Le groupe a été un peu amoindri par les blessures mais il n’en reste pas moins costaud. On compte bien le prouver dès le premier match. •
Nord éclair (suite)
RETROUVAILLES
Dante Bonfim : « On n’a pas vu le vrai Dante à Lille »
GAËLLE LAURENT-DRIDI > il est arrivé en plein mois de janvier, en 2004, à une période de l’année guère favorable pour les Brésiliens qui débarquent en France. Les premiers mois de Dante à Lille n’ont, de fait, pas été faciles à gérer. « Il m’a forcément fallu une période d’adaptation mais je ne pense avoir traîné dans ce domaine en dépit de la difficulté, confie Dante. J’ai surtout dû apprivoiser un football et un championnat que je ne connaissais pas ». De son passage à Lille, le défenseur brésilien ne garde pas un grand souvenir. « Sauf les gens que j’ai rencontrés là-bas, tous très accueillants, sourit-il. Dans le groupe, je m’entendais bien avec tout le monde mais j’avais plus d’affinités avec Rafael, évidemment, Peter Odemwingie et Benoît Angbwa ».
« J’aimerais rejouer en France »
Dante a laissé à Lille l’image d’un Sud-Américain souriant et enthousiaste. Sur le terrain en revanche, il a vite déchanté. En deux ans (janvier 2004 à janvier 2006), il a disputé seulement douze matches de championnat. Et garde le sentiment amer de ne pas avoir eu sa chance. « Oui, je pense ne pas avoir eu ma vraie chance, poursuit-il. A Lille, on n’a pas vu le vrai Dante. Peu de monde là-bas connaît mon vrai niveau.
Je regrette de ne pas avoir pu montrer mon vrai niveau ».
C’est en Belgique que le Brésilien se découvre finalement aux yeux du football européen. À Charleroi d’abord puis au Standard de Liège, sa progression est telle qu’il est aujourd’hui l’un des meilleurs joueurs à son poste. Sacré champion de Belgique la saison dernière, il n’a manqué qu’un seul match pour cause de suspension. « À Liège, j’avais un gros défi à relever dans l’un des meilleurs clubs belges, indique Dante.
Et j’ai réussi à tenir la baraque. Aujourd’hui, j’ai encore soif de progrès ».
À l’aube de débuter sa quatrième saison en Belgique, l’ancien Lillois aspire à d’autres ambitions. « Je veux jouer dans un autre championnat, affirme-t-il sans détours. J’ai eu des contacts en Allemagne mais ce n’est pas forcément ma priorité. J’aimerais revenir en France. Car je suis un peu revanchard vis-à-vis de ma première expérience en Ligue 1 ! ». Bientôt de retour ? •
La Voix du Nord
LIGUE 1 Nicolas Fauvergue : « Je ne suis plus le même homme »
En froid avec Claude Puel, proche du départ cet été, Nicolas Fauvergue a trouvé un second souffle avec l’arrivée de Rudi Garcia, et même prolongé son contrat jusqu’en 2012. Un scénario improbable il y a quelques mois, alors qu’il semblait déboussolé. Une renaissance soudaine mais, il s’en doute, tout reste à faire.
PAR ANTOINE PLACER
sports@lavoixdunord.fr PHOTO MAX ROSEREAU C’était il y a quelques mois. Pour lui, c’est une autre époque, déjà. Les traits tirés, visiblement en souffrance, Nicolas Fauvergue observe ses potes au Stadium. Le gamin de 23 ans assiste, contrit, au match de son équipe depuis les tribunes. Il s’en veut, probablement. Quelques jours plus tôt, au Stade de France, fragilisé et usé, il avait brisé l’omerta du milieu pour vider son sac, tout bêtement (1). C’était la mort clinique de sa relation avec Claude Puel, déjà bien compliquée.
« S’il était resté, j’aurais demandé à partir », raconte-t-il d’ailleurs, sans chercher à se défausser. « Mais quand j’ai su que Rudi Garcia arrivait, la donne a changé, évidemment. J’ai donc attendu de voir ce que le nouveau coach attendait de moi. » La petite histoire raconte que sa joie, lors de l’annonce du départ de Puel, a ressemblé à un gosse de cinq ans qui déchire ses paquets à Noël… « J’étais content, c’est clair. De là à dire que j’ai fait la fête, sauté au plafond, non, faut pas exagérer. Je n’oublie pas que c’est grâce à lui que j’ai signé mon premier contrat “pro”. Seulement, nos relations étaient devenues difficiles, et son départ fut un soulagement. »
Une poignée d’abrutis
À l’époque de son bannissement, Fauvergue n’avait reçu aucune aide publique de ses équipiers, même si certains l’avaient assuré de leur soutien en coulisses. « S’ils s’étaient mouillés publiquement, ils se seraient grillés, dit-il aujourd’hui. Chacun doit penser à sa gueule, et je n’avais pensé qu’à la mienne en déballant tout. C’était de la maladresse. Mais j’ai bien mûri depuis. Et j’ai déjà parlé vingt fois plus avec Garcia qu’en quatre ans avec Puel. Rudi a rapidement vu que je suis quelqu’un qui a besoin de parler, d’être rassuré. » Pendant la préparation, Fauvergue a grignoté petit à petit du temps de jeu, avec peu de buts, pas mal de passes décisives et… des sifflets d’une poignée d’abrutis, contre Roulers, où il avait gâché quelques occasions. Mais Garcia lui fait confiance, et le club veut s’assurer de ne pas perdre son joueur, alors que Mirallas a déclaré ses envies d’ailleurs. « J’ai reçu une proposition d’un club français (Toulouse), mais Xavier Thuilot m’a dit qu’il était hors de question que je parte. J’ai sauté sur l’occasion, repris confiance, prolongé et depuis je me sens bien. Je sais qu’un attaquant doit arriver mais en attendant, je montre ce que je sais faire. C’est une année charnière pour moi, celle où je dois décoller. » Rudi Garcia partage cet avis : « C’est une bonne chose que “Nico” ait prolongé. Je souhaitais le conserver car c’est un joueur unique dans l’effectif par son profil. Il est puissant, possède la taille et un jeu de tête intéressant. Il y a encore du travail mais il sait que ce qui va compter, c’est l’épreuve du championnat. » Fauvergue, jeté par Lens à ses débuts et depuis toujours confronté aux chemins de traverse, joue gros. « Est-ce que c’est l’année de la maturité ? Oui, c’est pas mal, ça. En tout cas, je ne suis plus le même homme. J’ai fait un important travail sur moi. » Ça s’entend. Et bientôt, cela pourrait même se voir. •
1. – Le 1er mars 2008, après la défaite lilloise face à l’OL au SDF (0-1), devant la presse, Fauvergue avait mis publiquement en cause les choix tactiques de Claude Puel, réclamant le passage au 4-4-2
Pierre- Semi-pro
- Nombre de messages : 647
Age : 43
Membre : 5
Date d'inscription : 12/05/2008
Re: REVUE DE PRESSE DU 8 AOUT
dsl, j'ai pas envie d'tout lire
Saihtam- Champion de France
- Nombre de messages : 1294
Age : 33
Localisation : Quelque part dans le monde !
Membre : 6
Date d'inscription : 26/09/2007
Re: REVUE DE PRESSE DU 8 AOUT
un peu de mise en page n'aurait pas été de refus pour avoir une meilleure qualité de lecture
AudreyTheHoT- Débutant
- Nombre de messages : 49
Age : 40
Date d'inscription : 31/07/2008
Re: REVUE DE PRESSE DU 8 AOUT
c un test! Pour savoir si vous savez lire. Bon y'a encore du boulot lol
Pierre- Semi-pro
- Nombre de messages : 647
Age : 43
Membre : 5
Date d'inscription : 12/05/2008
Re: REVUE DE PRESSE DU 8 AOUT
Si on savait pas lire on serait pas inscrit ici je pense
AudreyTheHoT- Débutant
- Nombre de messages : 49
Age : 40
Date d'inscription : 31/07/2008
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum